L’avocat et figure emblématique de la société civile camerounaise, Me Yondo Black, a une fois de plus fait entendre sa voix. Dans une récente déclaration percutante, il s’est opposé fermement à la gouvernance actuelle de Paul Biya, affirmant que lui et ses pairs « n’accompagneront pas le Cameroun dans sa descente vers le chaos ».

Ses propos, directs et sans concession, résonnent comme un cri d’alarme dans un contexte socio-politique déjà tendu.

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Une voix engagée pour la démocratie

Me Yondo Black n’en est pas à sa première sortie médiatique. Connu pour son engagement en faveur de la démocratie et des droits humains, il a souvent pris position contre ce qu’il considère comme des dérives du pouvoir.
Dans ses mots, on sent une profonde inquiétude pour l’avenir du pays :

« Notre responsabilité est de défendre le Cameroun et de protéger son peuple, pas de cautionner des décisions qui peuvent mener à l’effondrement. »

Cette posture le place une nouvelle fois dans le camp de ceux qui réclament plus de transparence, de justice et de gouvernance responsable.

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Un contexte politique sous tension

Le Cameroun fait face à de multiples défis :

• Crise économique aggravée par la mauvaise gestion et la corruption.
• Conflits internes dans certaines régions, avec des tensions persistantes.
• Mécontentement populaire lié au coût de la vie et au manque de réformes.

C’est dans ce cadre qu’intervient la sortie de Me Yondo Black, alors que le débat sur la succession politique et la stabilité nationale s’intensifie.

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Un appel à la mobilisation citoyenne

Pour l’avocat, il ne suffit pas de dénoncer. Il faut aussi mobiliser la population afin qu’elle participe activement à la construction d’un Cameroun plus juste et plus prospère.
Selon lui, le silence ou la passivité des élites face aux dérives politiques équivaut à une complicité tacite.

Son message est clair :

• Refuser les compromis qui trahissent les intérêts du peuple.
• Défendre les institutions démocratiques.
• Œuvrer pour une alternance pacifique et constructive.

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Des réactions partagées

La déclaration de Me Yondo Black a suscité un large écho.

• Certains applaudissent son courage et voient en lui une voix lucide et nécessaire dans le débat public.
• D’autres critiquent son ton jugé trop radical et estiment qu’il serait préférable de privilégier le dialogue avec les autorités.

Quoi qu’il en soit, cette sortie médiatique rappelle à quel point la scène politique camerounaise reste polarisée et sensible.

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Vers un avenir incertain

Les propos de Me Yondo Black ne manqueront pas de relancer les discussions sur l’avenir politique du Cameroun.
Face à un pouvoir en place depuis plus de quatre décennies, les appels à un changement de cap se multiplient.
La question demeure : ces voix dissidentes réussiront-elles à peser sur les décisions à venir ou seront-elles marginalisées par le système en place ?

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